Le couvent des Minimes : baume du jardinier

Je vous ai déjà présenté le soin qui trône sur le bureau, à côté de mon ordinateur, et dont la rapidité d’absorption me permet d’en appliquer au beau milieu de la journée, sans avoir à interrompre trop longtemps mes activités, la crème Intemporelle mains de Kibio.

Aujourd’hui, je vous présente le soin cocoon de mes mains, celui qui les répare, les protège et les nourrie en profondeur et durablement. Il s’agit du baume du jardinier du Couvent des minimes.

Comme chacun s’en doute, pendant une séance de jardinage, les mains sont mises à rude épreuve, l’eau, la terre, la boue, le froid parfois, … Bref, une fois l’épreuve passée, elles nécessitent un soin particulièrement efficace et c’est bien ce que promet ce baume, réparation, nutrition et hydratation.

Pour cela, il affiche une composition associant 20 % de beurre de karité à l’action de sept plantes : mimosa, verveine, camomille, guimauve, calendula, mélisse et romarin.

Ce baume est assez épais, et une noisette suffit pour l’appliquer sur les 2 mains. Elle dégage un subtil parfum citronné, la verveine peut-être…

Sa consistance épaisse lui confère aussi un effet émollient de sorte que j’aime bien aussi en appliquer une pointe sur chaque doigt et en masser chaque cuticule. A condition de bien doser, la durée d’absorption permet d’associer un temps de massage significatif à un délai de reprise de mes activités tout à fait honnête.

Alors même si je n’impose pas à mes mains un tel traitement, ou alors de manière exceptionnelle, j’ai pris l’habitude de leur faire profiter de ses bienfaits chaque soir, au moment du coucher. Je ne suis pas gênée par le film qu’il peut laisser sur les mains et le baume a ainsi toute la nuit pour agir et prodiguer ses soins.

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